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Bienvenue
dans une région que j'affectionne particulièrement et que
j'ai eu la chance de pouvoir découvrir en profondeur au
cours de quatre voyages, réalisés entre 1997 et 2002. La
zone centrale des Andes péruviennes, située à 450
kilomètres au nord est de Lima, est un écrin de montagnes
(les Nevados comme on les appelle là-bas) toutes plus
superbes les unes que les autres, réparties le long de la
célèbre Cordillère Blanche et de sa voisine sudiste, la
sauvage Cordillère Huayhuash. Facilement accessibles
depuis la ville de Huaraz, capitale de la province, ces
massifs offrent la possibilité de superbes expéditions,
loin des foules qui envahissent nos montagnes françaises,
sans pour autant devoir mettre en place une logistique
compliquée...
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A
l'assaut du Tocllaraju et de l'Artesonraju (août
2002)
Ma dernière
expédition en date dans la région pendant
laquelle, encordé avec Moïse et Felipe, nous avons
vécu des moments forts sur les pentes de ces deux
montagnes de la Cordillère Blanche. Sans oublier,
bien sûr, les indispensables moments de détente et
de repos autour de Huaraz, qui font le sel de ces
voyages...
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Le Tour de la Cordillère de
Huayhuash (août 2000)
J'ai réalisé cette
superbe randonnée avec mes parents et un couple
de leurs amis charentais juste avant notre
départ du Chili. Onze jours de rando sauvage
entre 4000 et 5000 mètres d'altitude, aux pieds
des plus belles montagnes, en compagnie de nos
muletiers et de leurs onze ânes de bât. Un must
pour tout amoureux de montagne !
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Le
Huascaran, toit du Pérou (août 1999)
Deux
semaines de montagne avec Jean, commencées par un
véritable jeu de piste sur les pentes du Nevado
San Juan (choisi en l'honneur de l'ami
Jeannot...), une montagne peu visitée de la
Cordillère Blanche, et ponctuée en beauté par
l'ascension du point culminant du Pérou, le
Huascaran (6768 mètres), dans des conditions
paradisiaques...
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Alpamayo,
"la montaña más bella del mundo" (juillet 1997)
Mon premier
voyage au Pérou, trois mois à peine après mon
arrivée au Chili. Une expédition éclair (une
semaine aller retour depuis Santiago !) qui nous a
amenés avec Andrew à 70 mètres sous le sommet de
l'Alpamayo, mais un vrai coup de foudre dont je ne
me suis toujours pas remis... Autant séduit par la
beauté des montagnes que par les charmes des
vallées pittoresques, je n'avais qu'une idée en
tête à peine de retour à Santiago: y retourner !!
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